On n’habille pas.
On équipe.

Nous rêvons dehors pendant que les autres dorment dedans. Nous avançons vite, en silence. Loin des masses et des tendances, on ne pousse pas, on perce.

Notre moteur, c’est l’âme d’enfant.
Celle qui découvre en faisant des délires. Mais le jour où on s’y met, on ne joue plus. On nous croit instables. Tout est calibré.

Et parce que nous partons de plus loin, et que nous observons le monde avec plus de recul, nous avons naturellement en nous les ressources pour aller plus loin.

DFDLC. Là où les autres s’arrêtent.